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L'Oiseau-Lyre (ou l'Oiseau-Lire)
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19 août 2009

Cul de sac (Piège Nuptial)

cul_de_sacQuatrième de couverture : Je n'avais rien contre l'Australie avant d'écraser un kangourou par une nuit sans lune et de rencontrer Angie sur une plage ensoleillée. Douce, chaude, Angie. Un vrai rêve pour le voyageur fatigué. C'est quand j'ai su que je l'avais épousée que les choses se sont gâtées, vraiment gâtées jusqu'au cauchemar.

[Comme quoi, tomber en extase devant une vieille carte routière peut être dangereux !]

(précisions d'après Wikipedia) Piège nuptial (titre original The Dead Heart, jeu de mot avec red heart, terme souvent utilisé pour désigner la partie centrale désertique de l'Australie) est le premier roman de l'écrivain américain Douglas Kennedy, celui qui l'a fait connaître au grand public. Publié en 1994 en anglais, il est traduit en français et publié en 1998 dans la collection série noire de la maison d'édition Gallimard, sous le titre Cul-de-Sac. Le livre a été retraduit et reédité en 2008 chez Belfond, sous un nouveau titre : Piège nuptial.

Ce que j'en pense : Je ne vais pas m'esbaudir devant ce polar et par conséquent par d'éloge dithyrambique comme on a pu le lire un peu partout sur le net ou dans les revues (exemple : ici, sur amazon.fr).
Pourquoi ?
- Outre ses récits, ce polar est le premier roman de Douglas Kennedy : première oeuvre, donc améliorable.
- Le langage  volontairement grossier fatigue, pas besoin d'autant de vulgarité, on avait compris. Surtout au début, gratuit.
- Histoire quelque peu rocambolesque, mais pourquoi pas : la lecture permet d'imaginer... et de s'évader.
- Des stéréotypes.

Passés les premiers chapitres (ils semblent si longs, tant j'attendais le fameux enlèvement décrit), je continue ma lecture afin de savoir ce qu'il va lui arriver.
Violence conjugale (mais là, de la part de l'épousée...).
Humour que je ne capte pas.
Je veux savoir comment cela se finit, mais bon sang, quand y arrive-t-on ?
Heureusement, les phrases sont courtes et le livre trop long à mon goût.
Fin : brève. C'est tout ? Cela se termine comme cela ? Pour une chute, c'est une chute (au propre comme au figuré !).

Histoires glauques, héros déjanté... cela me plaît, mais ici, pas la moindre étincelle.
Pas de suspense.
On s'attend à la suite.

Bref, j'ai préféré ses autres romans (gloire-chute-rédemption/sa vision de la société américaine) à ce premier roman.
Décevant.

J'ai prêté ce livre à ma soeur, qui elle, semblait emballée par les premières pages.

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