Greg OLEAR

303 pages
Editions Gallmeister (mars 2011)

Quatrième de couverture

totally killer

Greg Olear est né en 1972 à Madison, dans le New Jersey. Il a effectué ses études à l'université de Georgetown, où il a suivi des cours de théâtre. Totally Killer est son premier roman. Il travaille actuellement à son second livre, intitulé Fathermucker.

New York, 1991. La belle et ambitieuse Taylor Schmidt, fraîchement diplômée d'une université du Missouri, débarque dans la Grosse Pomme à la recherche d'un job et du grand amour. Crise économique oblige, elle erre de bureau de placement en bureau de placement, jusqu'à ce qu'une mystérieuse agence lui propose "le job pour lequel on tuerait". Deux jours plus tard, Taylor se retrouve jeune éditrice d'une maison d'édition new-yorkaise et découvre avec effroi le prix à payer : elle va effectivement devoir assassiner quelqu'un.

Théorie du complot et culture pop se mélangent dans ce roman politiquement incorrect à l'humour noir décapant qui tient à la fois de la satire grinçante et du thriller paranoïaque. Totally Killer est le premier roman brillant et palpitant de toute une génération.

Un roman intelligent, surprenant et d'un humour féroce.
Brad Listi

Mon avis

Euh.................. un livre prêté par Alex de Mot-à-Mots depuis de forts longs mois.... que j'ai fini par lire.......... en mars de cette année !!! Merci pour ta patience !

Bon, je ressors mes post-it notes repositionnables. Même sans, je me souviens de l'histoire, particulière.
Donc, j'ai noté : une liste musicale (le français pour remplacer playlist ?) avec des noms connus et d'autres non : R.E.M., Red Hot Chili Peppers, Elvis COstello, Nirvana, The Pogues , Duran Duran, Velvet Underground, The Smiths, U2, Enigma, Naughty by Nature, The Doors, Led Zeppelin, Alice Cooper (bon, ok, il n'y a que cinq noms que je ne connais pas) : souvenirs, souvenirs ! Toute ma jeunesse !
J'ai le même âge que l'auteur (à un an près) et je m'y retrouve, entres les titres et les autres spécialités du début des années 90 (les vestes à épaulettes !), que l'on retrouve égrénées tout au long du livre, du temps où le téléphone mobile était quasiment inconnu (sauf en Scandinavie !) et où Internet n'était pas omniprésent !

Quelques remarques :
Le nom de l'agence... Quid pro quo, qui signifie contrepartie, compensation

C'est qui ça, Miranda ? "Une vraie Miranda", retrouve-t-on, entres autres, page 173 : pas trouvé ! Sans doute une référence à une Miranda célèbre outre-Atlantique... (pas celle de Sex & the City, dont la diffusion américaine a débuté en 1998).

Page 202 : le pluriel peu usité de leitmotiv, leitmotive (mot d'origine allemande). De même, j'apprends qu'éphéméride est plus souvent féminin que masculin page 178. Merci monsieur le traducteur, François Happe.

Page 234 : plusieurs sucres dans l'absinthe ??? et avec de l'Evian ???? Bizarre...

Page 237 : Est-ce qu'Edmond Dantès s'est vraiment senti mieux en fin de compte ? Quand il se venge, je présume, plutôt que lorsqu'il s'échappe du Château d'If.

Un bon bouquin, à l'humour grinçant qui reste en mémoire, pour l'originalité du sujet : pour ce côté irrévérencieux et totalement iconoclaste !

Les billets d'Alex de Mot-à-Mots et DidiGridouillis, Richard, Pierre F. de Black Novel et Canel, plus mitigée.  


pour info : c'est un Smith & Wesson, modèle Colt 1911.

 

Challenge Thrillers Polars Liliba chez Liliba (7/12) + challenge crime delph mes petites idées chez Delph (6/4)