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L'Oiseau-Lyre (ou l'Oiseau-Lire)
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5 octobre 2010

Trilogie New-Yorkaise

Cité de Verre - Revenants - La Chambre dérobée

Paul AUSTER

très en retard... je n'avais pas fait attention que nous étions déjà en octobre (alors que je l'ai terminé il y a un mois) !

445 pages
Editions Actes Sud, collection Babel (1991)

Qtrilogie_NYuatrième de couverture
De toutes les qualités qui ont justifié le succès de la Trilogie new-yorkaise, l'art de la narration est sans doute la plus déterminante. C'est qu'il suffit de s'embarquer dans la première phrase d'un de ces trois romans pour être emporté par les péripéties de l'action et étourdi jusqu'au vertige par les tribulations des personnages. Très vite pourtant le thriller prend une allure de quête métaphysique, et la ville illimitée, insaisissable - New York - devient un gigantesque échiquier où Auster dispose ses pions. De ces trois romans, il avoue d'ailleurs vers la fin de La Chambre dérobée qu'ils sont une seule et même histoire considérée à des stades différents de la conscience qu'il a pu en avoir. Et d'ajouter : " Il y a longtemps que je me démène pour dire adieu à quelque chose... " Or il est vrai que, dans l'art de dire la dépossession, il est passé maître.

Paul Auster, né en 1947, vit actuellement à Brooklyn. Poète, traducteur (de Mallarmé, Blanchot, Sartre...) et romancier, il est l'un des plus brillants écrivains de sa génération.

Mon avis

Prêté par Soeurette, qui aime la littérature américaine.

Oui, jusqu'à ce jour, je n'avais jamais lu de livre de Paul Auster. Ah, une bonne chose : une préface, qui explique le travail de l'écrivain, ses spécialités : New-York, la solitude, les noms des personnages, etc. Que j'ai complété en surfant la toile à la recherche d'information sur l'écriture de Paul Auster.

A la lecture des trois nouvelles, cela me fait penser au film Inception (clic), où tout s'imbrique.

Cité de Verre
Des solitudes, des promenades dans New-York, une déchéance...schuiten_et_peeters
Les descriptions me rappellent les oeuvres d'art (j'en suis gaga ! une telle précision dans le trait, tant de détails...) des bandes dessinées de Schuiten et Peeters et je rapproche la couverture, illustration du Crysler Building en construction, en 1931 avec un dessin des Cités Obscures.

Revenants
* page 201 : Il découvre qu'inventer des histoires peut être davantage qu'un simple passe-temps et peut constituer un plaisir en soi.

La Chambre dérobée
Comme dans la première nouvelle, le détective privé s'appelle Quin ; on y croise encore Walden, Peter Stillman.

Mes impressions... C'est long... Parfois, je me demande si Paul Auster a fumé la moquette !

Il est vrai que la solitude, la déchéance sont bien décrites.
Mais bon, franchement, je m'attendais à mieux. Là est le problème quand un livre ou un auteur sont encensés, on s'attend à quelque chose de grandiose. Je n'ai pas accroché.
Ok, il a un sourire charmeur...
D'après Soeurette, j'aimerai peut-être Tombouctou, qu'elle m'a également prêté.

sexy__crivain
Lecture commune de Sexy Ecrivains, initiée par Clair de Jour

jeune_femme_allong_e_sur_un_banc
Livre prêté par Soeurette
(Carl Larsson)

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Commentaires
C
J'avais adoré !! C'est vrai que c'est vraiment très étrange, dans la forme comme dans le fond et l'on peut facilement ne pas accrocher...<br /> Ce que j'aime avec Auster et plus particulièrement dans sa trilogie, c'est qu'Auster parvient à créer un monde en soi, ce qui me fascine.<br /> Ca me donne envie de relire la trilogie, tiens...
M
Sans doute les plus difficiles d'accès de Paul Auster. Je ne conseillerais pas de commencer avec la trilogie.
A
Peut-être que le film s'est un peu inspiré de cette trilogie.
A
oups pardon!
A
pas tres envie de me lancer dans cette trilogie; j'ai aimé de cet auteur "le livre des illusions"
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