Alice au Pays des Merveilles
Lewis CAROLL
125 pages
Pocket (1,50 €)
Quatrième de couverture
Par un jour d'été 1862, sur les berges de la Tamise, un jeune professeur d'Oxford, poète et mathématicien, improvise un conte pour distraire les trois fillettes d'un de ses amis. Charles Dodgson, alias Lewis Carroll, est en train d'improviser Alice au pays des merveilles. Assise au bord de la rivière, Alice s'ennuyait un peu quand soudain, venu de nulle part, surgit un lapin blanc pressé de regagner son terrier. N'hésitant pas à le suivre, Alice pénètre dans un monde de prodiges et de menaces qui n'est autre que le royaume de l'enfance. Et voici le chat de Cheshire à l'étrange sourire, la terrible Reine de coeur, le Chapelier fou et le Lièvre de Mars, la Fausse Tortue et le Valet-Poisson... Un siècle et demi plus tard, ce monde enfantin et absurde, surréel et symbolique, est resté le nôtre.
Mon avis
Suite à la sortie du film de Tim Burton, de nombreuses rééditions de Alice au Pays des Merveilles ont fleuri dans les rayons des librairies (dans cet hypermarché, où je l'ai acheté) (ici).
Connaissant l'histoire, mais ne l'ayant jamais lu, j'ai attaqué le livre bille en tête !
Une petite présentation chronologique de l'auteur me refroidit : Lewis Caroll s'était passionné pour la photographie et aimait photographier les petites filles, surtout celles du Pasteur... Il fut d'ailleurs interdit de les revoir.
Cette histoire fut inventée par Lewis Caroll lors d'une promenade en barque avec les trois filles du pasteur.
Histoire pleine d'allusions à des comptines enfantines, des parodies, etc., des thèmes communs à l'époque, comme le voyage au centre de la terre (comme chez Jules Verne), donc la période est en filigrane.
J'ai aimé me plonger dans cette histoire, mais ce que j'ai appris sur l'auteur m'a laissée une impression de malaise.