Les Morts de la Saint Jean
Henning Mankell
Editions Points Seuil
Quatrième de couverture :
Juin 1996. Nuit de la saint-Jean. Trois jeunes gens, dans une clairière isolée, se livrent à d'étranges jeux de rôles. Bientôt, la fête tourne au drame.
Août 1996. Alors que des parents signalent la disparition de leurs enfants, Svedberg, proche collègue de Wallander, est retrouvé mort, défiguré. La peur s'installe dans la région. Pour la première fois, l'inspecteur aux prises avec ses propres soucis est assailli par le découragement et le doute. Svedberg menait-il une double vie ? Pourquoi les jeunes gens étaient-ils déguisés ? Pourquoi le meurtrier visait-il des victimes jeunes et heureuses ? Pris dans l'enchaînement des découvertes macabres et des rebondissements, Wallander parviendra-t-il à mener à bien cette nouvelle enquête qui s'annonce particulièrement ardue ?
Selon moi, pas le meilleur de cet auteur suédois, qui vit entre Mozambique et Suède.
On commence le livre à travers les yeux du tueur, comme dans d’autres de ses ouvrages. On en apprend plus sur la vie de Kurt Wallander, héros récurent des romans policiers, sa famille et ses collègues.
J’ai préféré « Le retour du professeur de danse » ou « Avant le gel », par exemple.
Si vous voulez « attaquer » la littérature scandinave (policiers ou autres), laissez-moi un petit commentaire.